Enfin à la maison ! Los Angeles m'avait vraiment ennuyé, sans ma Rosy d'amour à mes côtés. Elle m'avait tellement manquée, un mois sans la voir, sans l'effleurer, cela m'avais rendu presque fou. Il fallait que j'admette quelque chose sur les humains, ils pouvaient rêver alors que moi, je n'avais que mes souvenirs inoubliable pour me rappeler d'elle. Un mois entié était passé depuis mon départ de la villa et j'avais enfin fini par recevoir le message vers 23H me permettant de revenir à la maison. Je m'étais précipité à toute jambe vers l'aéroport, dans l'obscurité absolue, avais pris le premier avion en direction de Seattle puis avais patienté des heures durant le vol. J'allais enfin la revoir, la retrouver et cette seule pensée m'égaillais pendant mon court sprint jusqu'à Forks. Je passais devant la splendide demeure familiale sans y jeter un regard, ce soir je n'avais envie que d'une chose. Un contact, juste l'effleurer pour m'assurer qu'elle n'avait pas disparue, que toi ce que j'avais vécue jusque là avait bien été réel. Pour moi, cette nuit, seule elle comptait. Nous nous étions mariés tant de fois, sans parler du bonheur éprouvé à chaque moment passé en sa compagnie qu'il m'avais été très difficile de ne pas revenir avant d'en avoir eu l'ordre. Cette punition m'avait au moins apprit une chose, que la prochaine fois, si s'était trop tentant, je le referait mais j'emmenerais Rosy dans la valise. Esmée n'avait pas supportée ma mauvaise blague sur les rapports Bella Edward que j'avais craint ne pas pouvoir revenir avant des décénies. Je ralentit doucement ma cadence pour ne pas enfoncer la porte d'entrée car Carlisle m'avait avertit que c'est moi qui payerait tout les dégâts infliger a notre demeure. Je l'ouvrais délicatement, l'odeur de mon ange envahissait chaque recoint de la villa me rendant encore plus désireux. Je voulais la voir, la contemplais, poser mes yeux sur son visage parfait. Je montais les escaliers sans bruit et arrivais dans le dressing, de nombreux portants avaient été ajoutés aux anciens et je devinais sans peine que ma Rose avait due dévaliser toutes les boutiques luxueuses aux alentours de Forks sans que sa carte ne grille. Je rigolais silencieusement en pensant au jour ou elle se retrouverait a court d'argent et que sa carte ne passerait pas a la caisse. J'inspirais lentement l'odeur de la pièce, elle était exactement comme je l'avais laissé sauf qu'une odeur pestilentielle me brûlais les poumons. Un clébart avait dût passer ici et j'espérais qu'il n'étais rien arrivée à la beauté fatale car sinon toute la bonne humeur que j'avais éprouvé suite au SMS de ma mère préférée s'estomperait soudainement et ne serait plus qu'un souvenir. Notre chambre était allumée, c'etait surement Rose,souriant, je passais le seuil de la pièce en espérant recevoir un bon accueil malgré la longue absence...

J'avais passé ma journée à faire les magasins comme beaucoup de fois. J'aurai aimé faire les boutiques avec mon cher et tendre mari, mais celui ci n'avait pas pu rentrer à la maison, sur ordre de notre mère.
Je l'adore cette femme, mais me priver de mon mari, cela m'avait rendu dans une colère noire. Oh, je savais que c'était parce que Monsieur avait encore fait une gaffe. Alors quand il franchira le seuil, ... je ne sais pas comment je réagirais enfaite.
J'avais passé le reste de mon après midi, dans la demeure familiale et Esmé m'avait dit qu'elle enverrai peut être un SMS à Emmett, pour le faire rentrer mais je ne savait pas si elle le ferai vraiment parce qu'elle était encore en colère contre lui.
Elle n'aimait pas la violence, c'est pourquoi à chaque grosses gaffes, elle nous vire de la maison pour nous faire comprendre que ce n'est plus possible.
Après avoir été à la chasse dans la soirée, avec tout le monde ( sauf mon Emmett, malheureusement ), je suis rentré chez moi, je n'ai rien fait, m'y à part le fait que j'ai du ranger mes trentaines de sacs de vêtements et de chaussures. Dans toutes mes emplettes, je n'avais pas oublié que j'avais acheter des petits trucs pour mon mari.
J'espérais que cela allait lui plaire, je me doutais qu'il n'aurait pas fait du shopping, puisqu'il ne fait pratiquement rien sans moi.
Moi non plus d'ailleurs, mais j'ai fini par bouger pour m'occuper l'esprit et ne pas tout casser sur mon passage, pour que l'on me rende mon être cher !
Dans la maison, l'odeur de mon amour se faisait de moins en moins présente, mais j'arrivais toujours à m'en rappeler puisque voila bien des années que son odeur me suis partout avec douceur.
Je commençais à me demander quant est ce qu'Esmé viendrait me dire qu'il arrive mais elle ne venait toujours pas me l'annoncer.
Je me suis installé sur notre lit, avec un livre d'amour que Bella m'avait fait connaitre et que je ne cessais de le lire sans arrêt et cela était pire depuis que mon amour, était absent.
J'ai entendu de léger pas sur le sol, Esmé ?
Mais enfaite, voilà que mon Emmett était enfin là, je l'ai laissé rentrer dans la pièce. Je me suis levé d'un bon et je l'ai enlacé ... mais je me suis vite reprise et je lui ai lancé une gifle. Bien-sur, cela ne lui faisait rien mais il comprendrait certainement le sens. Pour en être sur, qu'il comprenne rapidement j'ai rajouté.

"TU M'AS FAIT ATTENDRE LONGTEMPS ! J'ESPÈRE QUE TU AS COMPRIS ! JE NE VEUX PLUS ÊTRE ÉLOIGNE DE TOI, PLUS JAMAIS !!!"

Je me suis tut pour l'embrasser à pleine bouche et je lui ai glissé mes bras autour de son corps musclé.

Dans la pièce allumée, ma chère et tendre lisait un livre, surement d'amour à en juger par son titre. Elle avait la tête levée vers moi et une expression indéfinissable était inscrit sur son visage. Bon présage ou pas? Je ne pouvais m'en douter. Rosy se leva et enlaça mes épaules, j'aurais désiré que ce contact soit long car il fallait tout de même que je lui fasse des excuses.
J'aurais voulut profiter de ce contact le plus longtemps possible mais ma rose décida de m'en faire goûter un autre, moins tendre et plus épicé. Je me remémorais les paroles d'Esmée avant qu'elle ne me fasse sortir de la maison à coup de pied, expression qu'elle m'avait dit correspondre à mes blagues et bétises variées: "Qui sème le vent, récolte la tempête". Je n'y avais guère prêté attention mais désormais je connaissais toute les teneurs de cette avertissement. Et elle correspondait parfaitement à Rose en ce moment, une vrai tornade.
Quoi que la baffe ne m'ai pas vraiment fait mal, mon amour propre en était atteint. Je pris une moue déconfite lorsqu'elle hurla:

-"TU M'AS FAIT ATTENDRE LONGTEMPS ! J'ESPÈRE QUE TU AS COMPRIS ! JE NE VEUX PLUS ÊTRE ÉLOIGNE DE TOI, PLUS JAMAIS !!!"

Je prenais cela pour des reproches et reculais d'un pas, lentement pour ne pas recevoir une deuxième claque. Mais soudain, ma rose commença à m'embrasser, je perdis alors toute notion de contrôle, dans ces moment là, il m'était possible de rester ici une infinité d'années en sa compagnie sans m'en rendre compte.
Je continuais à l'embrasser tendrement mais plus pressé. Je voulais passer le plus de temps possible avec elle, au moins jusqu'à demain, seul bien sur sans ma famille. C'était égoiste de ma part mais je tenais à la garder pour moi tout seul.
J'enlaçais avec douceur sa taille de déesse et l'attirais à moi, sur le lit. Au bout d'un moment, j'arrêtais notre embrassade pour lui demander ce qu'elle avait fait sans moi pendant ce long et interminable mois a part remplir notre dressing et flamber sa carte bleu bien sur.
En attendant qu'elle me réponde, je dessinais de ma main, tout les traits si parfait de son visage, de ses bras, de ses hanches. Elle était telle une déesse dont la beauté était immortelle et mon coeur lui appartenait pour toujours depuis qu'elle m'avait sauvée de mon met préféré.
Aucun relâchement dans mes sentiments si intense envers elle, elle était tout ce que je désirais et se que je désirerais.
Mais avant qu'elle ne se prononce, je lui dis avec un air de grizzli battu:

- Sache que je tiens vraiment à m'excuser d'avoir commis un telle gaffe, j'ai été bête, vraiment bête. Je n'ai même pas songé à t'emmener dans ma valise, il n'y avait pas beaucoup de place mais au moins je t'aurais eu pour moi tout seul et on auraient passés un super mois...

Emmett m'avait sauté dessus et m'avait enmener sur le lit. il avait fini par parler, il m'avait demandé ce que j'avais bien pu faire à part flamber ma carte et je ne répondit pas tout de suite. Le laissant me caresser lentement avec amour, j'ai fini par lui répondre :

"Ce que j'ai fait pendant ton absence ? J'ai, comme tu le sais... fait les boutiques avec Daniel... c'est aussi pour cela que la maison avait perdu ton odeur... Daniel passait beaucoup de temps avec moi pour me faire attendre ton retour. Il m'a bien aider pendant mon shopping, aider parce qu'il as fait le mannequin pour t'acheter un cadeau."
Avant que je ne me lève pour lui donner ce dont je venais de lui parler, il me dit :

Citation :

- Sache que je tiens vraiment à m'excuser d'avoir commis un telle gaffe, j'ai été bête, vraiment bête. Je n'ai même pas songé à t'emmener dans ma valise, il n'y avait pas beaucoup de place mais au moins je t'aurais eu pour moi tout seul et on auraient passés un super mois...

"Hors, si tu m'avait pris dans ta valise comme tu me dit, cela n'aurai pas été une punition digne de ce nom... Cela aurait été des vacances... tu n'aurais pas bien compris pourquoi Esmé t'a fait partir de la maison."

Je me suis levé avec un sourire pour me rendre dans le dressing, son cadeau s'y trouver. Deux chemises, deux pantalons, un manteau gris... J'aimai ce que j'avais trouvé mais est ce que cela allait lui plaire.
Je suis revenu auprès de lui, en lui tendant le grand sac et je l'ai embrassé délicatement.

Rosalie Hale Cullen a écrit:

"Ce que j'ai fait pendant ton absence ? J'ai, comme tu le sais... fait les boutiques avec Daniel... c'est aussi pour cela que la maison avait perdu ton odeur... Daniel passait beaucoup de temps avec moi pour me faire attendre ton retour. Il m'a bien aider pendant mon shopping, aider parce qu'il as fait le mannequin pour t'acheter un cadeau."

J'écoutais attentivement Ma rose, elle avait fait les boutiques, pas étonnant mais avec Daniel... Le cabot, cela expliquait l'odeur qui me brûlais le nez depuis que j'étais rentré. Je n'appréciais pas vraiment cette fréquentation car je préférais évidement me battre avec les loups que eux ne servent d'amis à ma femme. Ils étaient trop imprévisible à mon goût, mais je ne dis rien à Rosy car je sais que tout commentaire sur Daniel ne lui plaisait pas. Puis, elle changea de sujet revenant sur mes excuses. Si je l'avais emmener avec moi, cela aurait tout changer, des vacances à Los Angeles tout les deux, le rêve. Elle se leva et gagna le dressing, je devinais qu'elle voulait me montrer mes cadeaux.
Je lui disais, toujours perché sur le lit:

- Bien sur que j'ai compris pourquoi elle m'avait virée, mais c'était tellement tentant que je n'ai pas put résister. Je recommencerais plus, promis!

Promettre n'était pas mon truc mais quand mes serments étaient faits avec ma femme, elle savait que je les respectaient. Elle revint dans la chambre avec un beau sac de magasin et me le tendit, souriante.
Je lui rendit son sourire et elle m'embrassa avec délicatesse. J'ouvrais les sacs rapidement en faisant attention à ne pas froisser les vêtements qui s'y trouvait, je les sortis un à un pour me rendre compte du nombres de vêtements.
Deux magnifiques ensembles et un sublime manteau gris. Exactement ce qui me manquait, un manteau même si je n'en avais point besoin, cela rendait mes tenues plus belle et aussi me faisais paraitre plus humain lorsque le froid arrivait. Je regardais ma femme avec joie puis rendit mon verdict même si mes yeux voulaient tout dire:

-Ses tenues sont magnifique, merci mon coeur. En plus c'est exactement ce qui me manquait.

Il se pencha et posa ses lèvres sur les siennes passionément.

" Je suis ravie que cela te plaise, tes vêtements commençaient à dater alors je me suis décidé à te faire une surprise. Moi je me suis acheter un certains nombres de vêtements, est ce que tu veux que je te les montre ?"

Emmett m'avait embrasser pour me remercier et me montrer son amour, j'avais tellement de truc à lui montrer, à lui dire... il m'avait manqué !
Je n'avais pas terminer d'acheter des cadeaux à mon amour, il m'avait tellement manquer que je voulais lui montrer mon amour par toutes les façons possibles.
Il m'embrassait encore et encore alors je me suis laissé faire, le défilé se ferra plus tard, je voulais profiter de sa présence qui m'avait énormément manqué.
Je l'ai serré dans mes bras, j'ai glissé mes doigts sous son tee shirt, en répondant à ses bisous et son rapprochement. Je l'ai allongé sur le lit et j'ai pris le dessus, je ne savais pas si j'allais garder le dessus, ce qui m'étonnerai d'Emmett.

Mes gestes se sont fait plus rapide et rapidement j'ai enlevé son tee-shirt, découvrant ainsi son torse si musclé que j'aime tant.

Ma Rose me proposa une sorte de défilé pour qu'elle me montre ses achats, j'étais sur qu'ils me plairaient mais si cela pouvait lui faire plaisir, j'acquisais d'un signe de tête tout en continuant de l'embrasser. Je lui avais moi aussi acheté des cadeaux à Los Angeles, des vêtements de grands couturiers et j'espérais qu'ils lui plairaient.
Ce contact m'avais tellement manqué, même si jamais je n'aurais put l'oublier, ses baisers si parfaits. Je n'avais pas la force de m'écarter alors autant continuer, la frénésie qui m'avais envahit était tellemnt forte.
Petit à petit, ma femme glissa ses doigts frais et bienfaisant sous mon tee shirt, nous nous allongeâmes sur le lit et je ne cessais de l'embrassais tout en me rapprochant d'elle.
Elle m'enleva mon tee shirt subitement dévoillant mes abdos incrustés à jamais dans mon corps. Puis rapidement, je me redressais puis m'assis délicatement sur elle, sans cesser de la regarder. Je lui enlevais également son haut mais plus lentement, pour faire durer le plaisir de cet instant de retrouvaille.
Puis je lui embrassais le cou avec une douceur et une envie incessante, je descendais jusqu'à sa taille puis stoppais. Mon désir impulsif pouvait lui déplaire et je voulais passer un moment agréable avec mon âme soeur et la seule personne qui puisse me combler dans ce vaste monde. Son flan nu était à tomber par terre, sans rondeur mais si irrésistible, ses hanches était telle que pour moi, c'étaient les plus belles et de loin, j'aurais put les reconnaitres entre toutes.
J'approchais ma tête de ses cheveux si doux et soyeux j'enfuis ma bouche et mon nez pour inspirer cette odeur si plaisante et rassurante. Puis je la regardais, guettant ses réactions à mes envies de lui exprimer à quel point elle m'avais manqué.

Je ressenti de la part d'Emmett, une énorme envie de plus qu'un câlin, ses gestes se faisaient de plus en plus rapide... contre toute attente, il se calma
*Non, n'arrête pas Emmett !*
Sachant que j'avais dit cela dans ma tête, il ne pouvait pas reprendre ses gestes pressants que je voulais. Alors, je pris la relève !
J'ai enfoncé mes doigts dans son dos, je l'ai embrassé fougueusement et je me suis accroché à lui comme si j'avais peur qu'il ne parte. En effet, j'avais peur qu'il parte parce que voilà un mois qu'il était parti... bien entendu, sous les ordres d'Esmé mais cela s'est passé subitement alors que lui et moi avions des projets. Cette fois, j'avais quelques choses de prévu pour lui et il ne pourra pas s'en aller, à moins que cela ne soit pour me balader de pièce en pièce, pour m'embrasser de plus en plus.
*Et plus si affinité!*
J'ai souri et j'ai repris mes bisous mais cette fois dans son cou, sur ses épaules pour revenir à la première partie de son corps où je me trouvais... son visage. J'ai embrassé ses joues, son nez et je l'ai regardé amoureusement en attente d'une réaction que je voulais... câline...

Les yeux de ma belle affichèrent pendant une seconde une sorte de déception suivant mon arrêt de gestes envieurs. Je compris à cet instant qu'elle aurais désirée que je continu sans stpper comme cela. Décidément, j'étais doué pour gâcher les moments magiques. Je continuais tout de même à l'embrasser en lui laissant prendre le dessus un moment, moi aussi je tenais à être caliné.
Elle était accrochée à moi de telle façon qu'on aurait put croire qu'elle ne voulait pas que je parte ce dont j'aurais été incapable. Puis elle m'embrassa tendrement sur les épaules, dans mon cou et sur mon visage, chaque contacts, frollement me faisait frémir d'envie.
Je l'enlaçais tendrement sous un élan d'amour et retirais son bas avec douceur et exitation.
Puis je la prit dans mes bras comme lors de notre premier mariage et l'amenais dans la cuisine, la déposais sur le buffet délicatement tout cela en continuant de l'embrassais. Je descendit, baisant au passage son ventre, ses hanches et ses cuisses en accélérant à chaque fois tout en la caressant. Mon sang si j'en avais encore aurait battu, tellement j'étais tenté. Puis je sortit du frigo un tube de sang donné par Carlisle, du sang animal bien sur. J'en pris un peu puis laissais le reste sur le comptoir. Je l'embrassais en continuant d'avaler le sang qui restait dans ma bouche, je tenais à voir sa réaction que j'espérais imprévisible et agréable...

Emmett m'avait fait descendre, en me portant dans la cuisine. Emmett est tellement câlin ce soir, il finit par prendre une poche de sang et en a versé dans sa bouche. J'avais tellement faim, que je me suis précipité vers sa bouche pour l'embrasser. Le sang s'est mis à couler le long de ma gorge, c'était d'un bonheur extrêmement délicieux.
Je finis par l'emmener dans le salon, où je l'ai allongé pour continuer cette instant magique, cela se termina 1heures plus tard dans la salle de bain, sous une douche brûlante.
Après un sourire énorme, je me suis collé à Emmett pour le serrer,
"Je t'aime chéri !"
J'ai pris une douche froide, avec du gel douche pour me détendre d'une autre manière. Emmett est resté dans la pièce à me regarder, j'ai enfilé un peignoir et j'ai couru dans le dressing pour y enfiler une de mes nouvelles robes, une robe blanche simple sans bretelles.

Je suis passé devant un miroir, je me suis regardé et j'ai caressé mon ventre.
*J'aurais tant aimé un enfant*

Nous partîmes ensuite dans le salon, elle m'allongea sur le canapé et nous passâmes une heure à nous calîner et même plus.
Enfin, nous prîmes une douche brûlante dans la magnifique salle de bain qu'Esmée avait elle même designée. Nous étions collés sous l'eau ce qui augmentait mon désir d'elle, puis elle me dit qu'elle m'aimait. Même si je le savais, cela me transmit un plaisir fou, je lui rendit la pareille tout en pensant au film le plus romantique que j'avais vu, star wars . Le seul moment du film ou Leia Organa dit à Yan Solo qu'il l'aime et que celui ci répond je sais.

- Je sais, moi aussi je t'aime plus que tout.

Puis je sortit de la douche, gracieusement malgré mes muscles et mon apparence de macho la laissant prendre un douche plus fraîche.
Je l'observais, toujours sous le charme de sa beauté, même en peignoir elle était magnifique. elle courut jusqu'à notre chambre pour enfiler un vêtement plus décent et revint.
Je l'attendais dans le couloir et je la vis donc passer la main sur son ventre quand elle se regarda dans le miroir. Une tristesse m'envahis, déchirant un peu plus mon coeur.
Jamais je ne pourrais lui offrir un enfant même si je le souhaitais. L'envie de Rose me transperçais telle une lame aiguisée à chaque fois qu'elle faisait cette moue.
Je l'enlaçais en essayant de réduire son chagrin et par la même occasion, le mien. Je me disais interieurement que nous aussi, nous n'aurions qu'une solution pour être parents, adopter.
Cela me répugnais quelques peu mais c'était la seule possibilité et j'étais prêt à accorder à ma femme tout ce qu'elle voulait...

(HRP: désolé du retard que j'ai pris pour répondre mais je n'avais pas trop le temps)

Emmett me serra contre lui à la vue de ma déception de ne pas pouvoir avoir d'enfants. Je savais que cela le rendait malheureux, j'étais moi aussi triste de ne pas pouvoir tombé enceinte et aussi que je ne pouvais pas lui offrir d'enfants.

"Il faudrait que l'on pense à l'adoption, chaque jour auprès de Nessie, voir Bella et Edward si heureux... me pèse. Je ne veux pas que tu soit triste, je ne veux pas que tu te dise que c'est ta faute que je ne peux pas avoir d'enfant. Cela serait bête de ta part puisque ce n'est pas toi qui m'a transformé... Je remercie quand même Carlisle de l'avoir fait... Cela m'a permis de te rencontrer."
Je souris à mon chéri et j'ai passé ma main dans ses cheveux, tendrement.

"Je t'aime"
Cela serait vraiment bien une adoption, il faudrait que j'en parle à Carlisle... Vu notre statut de vampire.
"On en touchera un mot à Carlisle ! Je ne veux pas que l'on fasse d'erreurs et que nous ayons les Volturi sur le dos !"

J'ai serré Emmett encore plus fort et j'ai voulu changer de discutions.

"Tu ne mettrais pas les vêtements que je t'ai acheté ? Je les ai déjà lavé."
Je lui ai fait un sourire, avec le cœur serré en repensant à cette enfant que l'on désire tant.

Ma beauté émit également l'option de l'adoption et me dit de ne pas penser que cette infertilité était de ma faute.
Moi aussi je désirais connaitre un bonheur proche de celui d'Edward et Bella, ma super belle- soeur qui m'avait battu au bras de fer.
J'étais tout de même heureux qu'elle évoque le bonheur de notre rencontre, j'étais sur que même si je pouvais redevenir humain, je ne le désirerais pas car je voulais rester à ses côtés pour l'éternité.
Elle était à moi, je la serais tendrement contre moi. Mes bras enroulée autour d'elle exerçaient une pression minime mais présente qui comblait la tristesse de ne pas pouvoir lui donner ce qu'elle désirait.
Elle évoqua également les risques des adoptations d'humains dans les familles de vampires qui si l'on faisaient un seule erreur, ce transformerait en danger pour toute notre famille, je frissonnait à cette pensée en pensant que les volturi tiendrait la la chance d'acquérir des talents précieux et rare que notre famille possédait.
Edward, Bella, Alice, Renesmée, Jasper...
Tous seraient épargnés pour servir ses démons assoiffés de pouvoir. Même si j'aurais bien aimé une baston, celle ci me paraissait perdue d'avance et les rejeton immortel étaient vraiment des périls pour tous les humains à proximité.
Elle me sugèra de mettre les vêtements qu'elle m'avais acheté et je fis de retour en quelques secondes à peine, coiffé et habillé élégament.
Un beau pantalon retenu par une ceinture de marque, une chemise sublime et mon tout nouveau manteau gris mais en plus de cela, je tenais dans ma poigne, trois beau sacs de grands couturiers.
Je savais exactement ce qu'ils contenaient et je les tendit en souriant à ma femme.
En tout, il y avait aux moins 8 robes et 3 jupe en plus d'une chemisier liberty que j'avais trouvé à tomber par terre. Une des robes avait plus attaché mon regard que les autres. Elle était d'une beau pâle et attirant et le dos de la robe était décoletée, un peu exetionnelle mais de toute beauté. J'attendit de voir ses réactions en espérant qu'elles lui plairaient...

Emmett n'était pas revenu les mains vides, en effet celui avait fait des folies profitant de sa punition pour me faire plaisir.
Il me tendit 4grands sacs, avant de les ouvrir, je l'ai remercié en l'embrassant tendrement sur sa délicieuse bouche.
"Merci mon ange, bien que je ne les ai pas encore ouvert... je suis certaine que cela va me plaire parce que tu me connais jusqu'au bout des ongles !"
Le sourire aux lèvres, j'ai pris un des sacs que j'avais posé sur le lit et y découvrit un chemisier Liberty. Je me suis tourné vers mon amour et lui fit mon regard et un énorme sourire pour lui montrer que j'étais contente ! J'ai continué le déballage des sacs, y découvrant cette fois ci, pas moins de 10 robes, 3 jupes de grand couturiers.
"Merci chéri ! J'aime beaucoup celle ci !" Dis-je en lui montrant la robe qui avait sans nul doute fait craquer mon mari.
Je l'ai embrassé tendrement dans le cou, sur les joues pour finir ce petit chemin sur sa bouche.
"Merci, merci, merci !!!"
Je pris la robe, couru dans la salle de bain et je l'ai mise. Je suis dingue de cette robe mais aussi et encore plus de mon homme !!
Je suis revenu dans la chambre et j'ai serré par derrière mon mari qui ne tarderai pas, j'en sur à se retourner pour admirer l'un de ses achats sur sa femme.

Elle me rassura ensuite sur la robe et me précisa que si je tenais à trouver la robe qui me ferais vraiment craquer, je n'avais qu'à la faire sur mesure.
Cela me plaisait beaucoup que nous soyons enfin réunis après ce long mois de séparation.
Elle n'en ressortait que plus désirable, nous avions tant de chose à nous dire et aussi à prévoir. Soudain, comme si elle lisait dans mes pensées, elle hurla le mot voyage puis juste après remariage.
Je la regardais, surpris de la vitesse à laquelle elle avait formulée ses envies, ses voeux que j'avais mis quelques jours à envisager.
Il faut dire que dans la ville ou j'avais séjourné, les boutiques d'organisations pour ses festivitées ne manquaient pas et que j'en avais profité pour y faire un tour. Je la fixais un moment avant de tenter d'étouffer un rire euphorique que je ne parvint finalement pas à dissimuler.
Elle avait vraiment l'air folle ! Je réussit tout de même à formuler ces petits mots avant de repartir dans un accès de fou rire:

- Vos désirs sont des ordres, on le fait quand? Tout de suite ?

Elle sautait dans toute la pièce et j'étais sur que si elle cassait quelque chose, Edward ne manquerait pas de préciser que ce n'était pas causé par nos activités.
Je délirais, aux anges.
Mon amour pour elle n'avait qu'augmenté à chaque remariage, je savais qu'elle était tout pour moi et en concluais que pour elle, s'était la même chose.
Je la pris dans mes bras et l'entraînais vers la porte, en lui demandant ou elle voudrais que l'on célèbre le mariage et en lui précisant qu'il se chargeait de trouver un endroit pour la lune de miel et qu'il espérait que cela lui plairait.

Mon mari était évidemment pour ce renouvellement de vœux et aussi ce voyage, qui nous permettrais de se retrouver enfin !
"Je te laisse le choix de la destination, surprend moi dans ce cas ! Pour notre mariage, je pense que nous devrions faire cela à deux, choisir qui sera présent, quoi mettre en décoration... etc Par contre, pour ma robe, je la choisirais moi même, sans toi évidemment !"
J'embrassais mon mari qui m'avait emmené près de la porte mais je ne tenais pas à sortir en robe de soirée.
"Je tiens tout de même à mettre une tenue moins... extravagante, j’espère que cela ne te dérange pas !" Je me suis rendu dans la chambre, là où j'avais laissé mes cadeaux et j'en sorti une robe beige classique, pour finir par me rendre dans le dressing. Là, j'ai enfilé cette jupe, une chemise blanche à manche courte et une veste de la couleur de la jupe. Pour faire plus stylé, j'ai replis légèrement les manches de cette veste qui révélées un tissu en soi blanc et avec quelques fins traits noirs...
J'ai terminé par un des colliers en Or que mon mari m'avait acheté lors d'un de mes nombreux anniversaires. Fin prête, je me suis rendu auprès de mon mari et j'ai mis mes talons aiguilles blanc.
"Cela te convient aussi ? Je me sentirai un plus à l'aise pour des tours de magasins de décoration de mariage... Oh pour la chasse... je me changerai!" dis-je en souriant tendrement à cet homme exceptionnel qui osait me regarder de ses yeux d'amoureux !
"Je t'aime"
Je l'ai embrassé et j'ai attendu qu'il ne parle.

Je fut touché qu'elle me laisse choisir la destination de notre lune de miel.

- Merci de ne pas me laisser seul pour les invitations, car avec moi on aurait eu moins de la moitié des invités que tu désirait.
Et pour la robe, c'est une tradition à laquelle je ne pourrais pas échapper.
Choisie la mais cache la bien car si je tombe dessus...

Je lui rendit son baiser et la laissa allez se changer.
Elle disparut pendant un court moment qui me sembla durer une éternité pour finir par revenir, aussi belle que d'habitude voir encore plus.
Elle était vêtue d'une jupe beige et d'une veste assortie, d'une belle chemise blanche et classique et une paire de talon aiguilles blanc.
Elle avait rajoutée des petites touches stylée à sa tenue qui la rendait encore plus sublime et qui faisait passer les styliste les plus célèbre pour de vulgaires imposteurs.
Un détail sur sa tenue me toucha plus que les autres. elle avait mise un des colliers en or que je lui avait offert, simple mais élégant. Je lui sourit avant de lui répondre:

- Tu es parfaite. Comme toujours.Pour les magasins, ou veut tu aller ?
Moi aussi je t'aime plus que tout.

Je l'enlaçais avant de passer la porte et de la fermer.
Nous étions dehors, à l'air libre. Les senteurs de la forêt embaumèrent l'air rapidement, ils étaient si habituels que cela me décontracta immédiatement.
Je désérait mon étreinte pour me contenter de lui tenir la main.
Ce geste signifiait beaucoup pour moi et il me rendait encore plus fou d'elle.

- Oh ne t'en fait pas pour les invitations, cela sera un renouvellement de vœux en famille !
Je lui ai fait un énorme sourire, je voulais un autre mariage simple mais tout de même avec une belle robe blanche et lui en costume cravate.
Je ne sais pas du tout où nous pouvions nous rendre pour nos achats... aucune boutiques par ici, n'irai parfaitement à ce que je désirais mais je voulais quand même tenter.
- Nous pouvons tout d'abord, nous rendre dans un magasin de décoration de mariage... Par contre je ne sais pas où, une idée ?
Je n'arrivais pas à me décider sur la boutique et j’espérais qu'il m'aide mais je craint qu'il ne fasse de mauvais choix... alors j'ai continué :

-Nous allons nous rendre dans la boutique où Alice s'est rendu pour nos fêtes... juste pour une idée ! Nous n'aurons qu'a aller dans une autre grande ville pour le reste. Je crains que rien n'aille pour notre mariage, je veux que sa soit parfait et que cela soit nous, les auteurs de ce mariage... de A à Z. Des fleurs aux lumières !
Je me suis blotti contre mon mari, il avait une odeur que je ne pouvais oublier mais que j'adorai sentir chaque instant.

Ouf, au moins je n'aurais pas d'invitations à écrire à la main, déjà que Esmée nous obligeait à les écrire à la mains alors s'il fallait que je m'y colle.
J'émis un soupir de soulagement, rien de mieux qu'un mariage en famille.
Notre premier mariage avait été très spécial, il y avait tellement de monde que sans mon odorat et ma vue hord du commun, je n'aurais jamais retrouvé la mariée dans un telle cohue de vampires .
De plus, c'est moi qui avait fait toute les invitations, une tâche "facile" d'après Alice mais bon pour tout vous dire, j'ai faillit attraper une maudite crampe aux doigts alors que j'étais un vampire, étrange mais possible.
Ensuite la future mariée me suggéra de faire un tour dans les magasins de décoration spécialisé dans les mariage et me demanda si je savais ou en trouver un. Je la regardais puis j'allais répondre lorsqu'elle enchaîna, me coupant dans mon élan.
Je restais comme seul, un peu dégouté qu'elle ne m'ai pas écouté et je me contentais d'hocher la tête quand elle dit que nous irions faire un tour aux magasin d'Alice et dans une grande ville pas très loin.
Je me demandais pourquoi elle m'avait demander quelque chose et n'avait pas attendue ma réponse, peut être pensais t'elle que je n'en avais pas. Pour redorer l'ambiance, je le dis:

- Je m'occupe de la lumière et toi des fleurs, ok?

Il me restais un détail à régler si je ne voulais pas un mariage trop décorer, trop parfait, écarter Alice pendant un moment de la maison.
Par contre, je n'avais aucune idée pour procéder à cela.
Alice qui à chaque fête venait mettre son nez la ou il ne fallait pas, même si je l'adorais, je ne tenais pas à ce qu'elle s'occupe des préparatifs. Pour moi, les espace remplit façon Alice était désastreusement trop grandiose et je préférais un mariage simple qui dure longtemps plutôt qu'une fête sublime et un mariage raté (ce qui n'était pas prêt d'arrivé tant que ma femme était à mes côté). Je lui confiait mes craintes sans toutefois trop les appuyer:

- Je serais d'avis de laisser Alice en dehors des préparatifs, ce n'est pas que je n'apprécis pas ce qu'elle fait mais...

A cours d'argument, j'attendis que Rose acquise ou non, après tout, son avis était peut être diffèrent vut qu'Edward et Bella avait eu un mariage de rêve grâce à elle.

"Je m'occuperai des fleurs ne t'en fait surtout pas, je ne tiens pas à ce que ce mariage soit une catastrophe et que l'on regrette de n'avoir pas laisser faire Alice." Je lui fis un sourire et un regard pleins d'amour. Je pris les clés de la voiture, nous nous rendrons dans une petite boutique où Alice se rend souvent, juste pour avoir une idée.

" Je ne tiens pas à acheter dans la boutique où va Alice, je veux juste que l'on s'y rende pour que l'on se fixe sur la déco. Je ne tiens pas à ce que l'on prenne tout la où elle vas et qu'elle nous nargue en disant que même quand elle n'est pas là... Elle reste dans notre tête et que l'on se ramène avec des trucs que ELLE prendrait."

Je pris mon mari par la main et je l'ai tiré pour le mettre dehors ( gentille-ment ) pour se rendre à la voiture. Je n'étais pas contre les idées de mon mari alors silencieusement, je disais
*Parle si tu le souhaite, ne me laisse pas tout décider... impose toi ! C'est également ton mariage !*
Ne le voyant pas se décider à ouvrir la bouche, je me suis rapproché de lui, je me suis blotti dans ses bras pour le serrer.
"C'est aussi ton mariage, je ne voudrais pas que tu pense que je fais cela que pour moi.. d'ailleurs... J'aimerai que tu sois sur de vouloir faire ceci ! Si tu ne le veux pas, nous ne le ferons pas et verrons cela ça plus tard"
Je tenais à ce qu'il soit réellement POUR ce re-mariage, je ne voulais que cela soit quelques choses d’énervant, de long, d'inutile alors je tenais vraiment à savoir ce qu'il pensait. Je l'ai donc fixé amoureusement dans les yeux, j'ai terminé par lui faire de léger baiser sur sa joue gauche en attendant sa réponse.

Abandonné